La rencontre Nice - Marseille disputé dimanche soir a été interrompue pendant plusieurs minutes car un pompier (Anthony Roko, 20 ans) a eu deux doigts arrachés par le jet d'une bombe agricole. Selon les témoins, la bombe agricole - et non un pétard comme cru initialement -, a été tiré de la tribune des supporters marseillais. L'engin est habituellement utilisé en agriculture pour faire des trous dans le sol. Le pompier a été évacué sur une civière, en vue d'un transfert vers une clinique spécialisée dans la chirurgie de la main.
Parallèlement, l'OGC Nice a annoncé lundi sur son site internet avoir porté plainte contre X pour cette blessure grave et s'être constitué partie civile. "Nous allons lutter pour que cela ne se produise plus. Le dispositif de sécurité pour cette rencontre était pourtant au point", a commenté le président niçois Maurice Cohen, précisant que la fouille des supporters marseillais avait été réalisée par les CRS et non par les stadiers niçois, conformément à la procédure en vigueur pour les matches classés à haut risque par la Ligue professionnelle de football.
La garde à vue d'un supporteur de l'OM, âgé de 47 ans, interpellé à l'issue du match a été prolongée lundi soir de 24 heures, selon une source judiciaire, tandis que les enquêteurs entendaient simultanément "plusieurs personnes" pour tenter d'identifier le ou les responsables du jet de l'explosif. L'explosif a semble-t-il pu échapper à la fouille pratiquée à l'entrée du stade par des policiers après avoir été dissimulé dans un emballage qui permet de tromper le flair des chiens spécialisés dans la détection de la poudre. Les quelque 900 supporters marseillais qui se trouvaient dans la tribune d'où est parti l'engin explosif ont été photographiés par la police et leurs identités ont été relevées, a annoncé la préfecture lundi.
Une fois de plus des abrutis se distinguent dans un stade de foot. Nous leurs conseillons d'aller s'acheter un cerveau plutôt que des bombes agricoles.
Les pompiers ne sont pas là pour se faire allumer. Ils viennent au stade pour assurer la sécurité. S'il n'y avait pas autant d'imbéciles ils pourraient faire leur travail correctement.
Le seul blog qui bat Manchester City, les All Blacks et Usain Bolt !
Description :
Radio Bière Foot.
Qui est l'auteur de ce blog ?
Un supporter de l'AJ Auxerre âgé de 34 ans.
Pourquoi ce titre ?
Afin de rendre hommage aux Robins des bois et à la série de sketchs "radio bière foot".
Voici ma vision du football :
Pour une Ligue des champions avec uniquement les clubs champions.
Pour que la C2 revive avec un format FA Cup : replay, demi-finales sur terrain neutre.
Pour que la C3 retrouve sa forme d'antan avec la finale en aller-retour et uniquement des matches à élimination directe.
Pour que la Coupe de la Ligue crève.
Pour un respect total des arbitres car sans eux il n'y aurait pas de match (imaginez un match sans arbitre avec Kombouaré et Dupraz).
Pour que les émissions qui brassent de l'air comme 100% foot, Luis attaque, Les Spécimens (liste non exhaustive) passent l'arme à gauche.
Pour l'érection d'une stèle au stade Sánchez Pizjuán en hommage aux martyrs de Séville 82 avec cette épitaphe :
Souviens-toi,
Il était une fois Séville.
Souviens-toi,
Leur légende est née ce jour là.
Pour que Duc de Bourgogne fasse la vérité sur le sort de Jules et Footix.
Pour l'interdiction des Vuvuzelas.
Pour la légalisation des streakers.
Pour l'instauration d'un service minimum lors des grèves de footballeurs.
Enfin, n'oubliez jamais ce qu'a dit un jour Don Revie, le mythique entraîneur de Leeds en 1976 à propos des arbitres : "So, we're wrong in expecting referees to be perfect when we're not perfect ourselves."
Ainsi que cette phrase de Jupp Derwall : "les français jouent au foot comme si les buts n'existaient pas sur un terrain".
Je suis aussi présent sur sitew.com, jimdo.com et overblog.com.
Youri Djorkaeff a mis un terme à sa carrière de footballeur sans avoir joué, dimanche à Washington, lors de l'élimination de son équipe, New York, en demi-finale de conférence Est du Championnat des Etats-Unis. Blessé à un tendon d'Achille, il a assisté en spectateur à la fin de parcours des New York Red Bulls après un nul (1-1) dimanche et une défaite (1-0) à l'aller.
Après avoir effectué ses premières armes en deuxième division au sein du FC Grenoble puis du RC Strasbourg, c'est à l'AS Monaco que Youri Djorkaeff se révèle. De très longues séances d'entrainement au coup franc lui vaudront plus tard le surnom de The Snake, pour les trajectoires "réptiliennes" que ses tirs prennent. Joueur offensif, particulièrement réaliste devant le but, son positionnement tactique sur le terrain reste imprécis. Tantôt milieu offensif excentré, tantôt véritable attaquant, Youri Djorkaeff est un casse-tête pour son entraîneur. Mais ce fin technicien qui n'aime rien tant qu'évoluer entre les lignes est surtout un poison pour les défenses adverses où son sens du dribble fait merveille.
C'est au cours de la saison 1993-1994 que Youri Djorkaeff explose véritablement. Brillant en championnat (dont il termine meilleur buteur avec 21 réalisations), brillant en Champions League, il est également appelé en équipe de France par Gérard Houllier et connaît sa première sélection à l'automne contre Israël (défaite 2-3). L'arrivée durant l'hiver d'Aimé Jacquet à la tête des Bleus n'enraye pas la progression du joueur monegasque. Bien au contraire, Djorkaeff va s'affirmer comme le porte-bonheur de Jacquet en multipliant les buts décisifs sous le maillot tricolore. Dans une formation dont les carences offensives seront longtemps montrées du doigt, le réalisme et le sens du but de Djorkaeff compenseront largement ses défauts (individualisme et manque de replis défensif)
Passé au Paris Saint-Germain en 1995, Djorkaeff s'affirme plus que jamais comme l'un des meilleurs joueurs du championnat, et est l'un des principaux artisans de la belle campagne européenne du club parisien (vainqueur de la Coupe des Coupes cette année-là). Rendement qu'il confirme avec l'équipe de France, où le duo qu'il constitue avec Zinedine Zidane illumine régulièrement le jeu des Bleus. Le premier grand rendez-vous de cette génération là se solde toutefois par un semi-échec lors de l'Euro 1996 en Angleterre. Eliminés en demi-finale, les Bleus peinent à convaincre et le duo Zidane-Djorkaeff ne se montre pas à la hauteur des attentes sucitées.
Au sortir de l'Euro, tandis que l'arrêt Bosman bouleverse le paysage du football, Djorkaeff croule sous les propositions des plus prestigieux clubs étrangers. Il choisit finalement de rejoindre l'Inter Milan. Dans le championnat réputé le plus exigeant du monde, au sein d'un effectif constellé de stars, Youri s'impose pourtant comme un joueur incontournable. Incontournable, il l'est également avec l'équipe de France même si à l'approche de la Coupe du monde 1998, sa complémentarité sur le terrain avec Zidane apparaît de moins en moins évidente et commence à alimenter les débats. Cela n'empêche pas Djorkaeff d'être l'un des principaux artisans du titre de champion du monde des Bleus. Victoire confirmée deux ans plus tard au cours de l'Euro 2000, même si l'influence de Djorkaeff va en diminuant au sein de l'équipe de France où il n'est plus un titulaire indiscutable.
Plus vraiment désiré à l'Inter Milan malgré trois bonnes saisons, Djorkaeff a entre temps rejoint les rangs de Kaiserslautern, le champion d'Allemagne en titre. Après des débuts réussis au sein du club allemand, Djorkaeff va être de plus en plus contrarié par les blessures et finalement perdre la confiance de son entraîneur. Ce n'est que de justesse qu'il parvient à accrocher le wagon de la Coupe du monde 2002 après avoir signé durant l'hiver dans le club anglais de Bolton pour retrouver du temps de jeu. Mais intronisé meneur de jeu en l'absence de Zinedine Zidane blessé, il ne parviendra pas à éviter le naufrage à l'équipe de France. Il annonce sa retraite internationale à l'issue du tournoi.
A Bolton, qui n'est pas le plus huppé des clubs de Premier League, Djorkaeff est loin de ses exploits passés. Mais même si le physique peine parfois à suivre, Youri continue à faire parler son expérience et son sens du but pendant plus de deux saisons. Après un bref crochet par Blackburn, il a rejoint en 2005 la Major League Soccer et les MetroStars de New-York où il a été élu meilleur joueur du club pour sa première saison.
Il fait publier une autobiographie, Snake, aux éditions Grasset, en 2006.
(source : l'équipe)
Après avoir effectué ses premières armes en deuxième division au sein du FC Grenoble puis du RC Strasbourg, c'est à l'AS Monaco que Youri Djorkaeff se révèle. De très longues séances d'entrainement au coup franc lui vaudront plus tard le surnom de The Snake, pour les trajectoires "réptiliennes" que ses tirs prennent. Joueur offensif, particulièrement réaliste devant le but, son positionnement tactique sur le terrain reste imprécis. Tantôt milieu offensif excentré, tantôt véritable attaquant, Youri Djorkaeff est un casse-tête pour son entraîneur. Mais ce fin technicien qui n'aime rien tant qu'évoluer entre les lignes est surtout un poison pour les défenses adverses où son sens du dribble fait merveille.
C'est au cours de la saison 1993-1994 que Youri Djorkaeff explose véritablement. Brillant en championnat (dont il termine meilleur buteur avec 21 réalisations), brillant en Champions League, il est également appelé en équipe de France par Gérard Houllier et connaît sa première sélection à l'automne contre Israël (défaite 2-3). L'arrivée durant l'hiver d'Aimé Jacquet à la tête des Bleus n'enraye pas la progression du joueur monegasque. Bien au contraire, Djorkaeff va s'affirmer comme le porte-bonheur de Jacquet en multipliant les buts décisifs sous le maillot tricolore. Dans une formation dont les carences offensives seront longtemps montrées du doigt, le réalisme et le sens du but de Djorkaeff compenseront largement ses défauts (individualisme et manque de replis défensif)
Passé au Paris Saint-Germain en 1995, Djorkaeff s'affirme plus que jamais comme l'un des meilleurs joueurs du championnat, et est l'un des principaux artisans de la belle campagne européenne du club parisien (vainqueur de la Coupe des Coupes cette année-là). Rendement qu'il confirme avec l'équipe de France, où le duo qu'il constitue avec Zinedine Zidane illumine régulièrement le jeu des Bleus. Le premier grand rendez-vous de cette génération là se solde toutefois par un semi-échec lors de l'Euro 1996 en Angleterre. Eliminés en demi-finale, les Bleus peinent à convaincre et le duo Zidane-Djorkaeff ne se montre pas à la hauteur des attentes sucitées.
Au sortir de l'Euro, tandis que l'arrêt Bosman bouleverse le paysage du football, Djorkaeff croule sous les propositions des plus prestigieux clubs étrangers. Il choisit finalement de rejoindre l'Inter Milan. Dans le championnat réputé le plus exigeant du monde, au sein d'un effectif constellé de stars, Youri s'impose pourtant comme un joueur incontournable. Incontournable, il l'est également avec l'équipe de France même si à l'approche de la Coupe du monde 1998, sa complémentarité sur le terrain avec Zidane apparaît de moins en moins évidente et commence à alimenter les débats. Cela n'empêche pas Djorkaeff d'être l'un des principaux artisans du titre de champion du monde des Bleus. Victoire confirmée deux ans plus tard au cours de l'Euro 2000, même si l'influence de Djorkaeff va en diminuant au sein de l'équipe de France où il n'est plus un titulaire indiscutable.
Plus vraiment désiré à l'Inter Milan malgré trois bonnes saisons, Djorkaeff a entre temps rejoint les rangs de Kaiserslautern, le champion d'Allemagne en titre. Après des débuts réussis au sein du club allemand, Djorkaeff va être de plus en plus contrarié par les blessures et finalement perdre la confiance de son entraîneur. Ce n'est que de justesse qu'il parvient à accrocher le wagon de la Coupe du monde 2002 après avoir signé durant l'hiver dans le club anglais de Bolton pour retrouver du temps de jeu. Mais intronisé meneur de jeu en l'absence de Zinedine Zidane blessé, il ne parviendra pas à éviter le naufrage à l'équipe de France. Il annonce sa retraite internationale à l'issue du tournoi.
A Bolton, qui n'est pas le plus huppé des clubs de Premier League, Djorkaeff est loin de ses exploits passés. Mais même si le physique peine parfois à suivre, Youri continue à faire parler son expérience et son sens du but pendant plus de deux saisons. Après un bref crochet par Blackburn, il a rejoint en 2005 la Major League Soccer et les MetroStars de New-York où il a été élu meilleur joueur du club pour sa première saison.
Il fait publier une autobiographie, Snake, aux éditions Grasset, en 2006.
(source : l'équipe)
Intervention de Xav !!!
Je ne partage pas l'avis de l'article précédent.
En effet je trouve ça totalement bidon de commencer un championnat avec des points de pénalité. Imaginez une finale de 100 mètres avec un sprinter devant parcourir 150 mètres parcequ'il aurait fauté auparavant (dopage, faut départ, etc...). C'est bidon. Imaginez encore que Schumi parte avec 10 tours de retard parcequ'il s'est planté en travers de la piste à Monaco. Là aussi c'est bidon.
Pour ma part et cela n'engage que moi, j'estime que les 4 clubs (Juve, Milan, Fio, Lazio) auraient du être relégués en Série B sans pénalité de points, mais en étant interdit de remonté immédiate comme ce le fut pour l'OM en France suite à l'affaire OM-VA.
De +, n'oublions pas que les titres gagnés par la Juve lui ont été retiré. Cette décision est légitime et logique.
Je livre donc mon verdict si j'avais été le juge de cette affaire.
Juve : retrait de tous les titres gagnés depuis 2004. Welcome en Série B avec interdiction de remonté pendant 1 ou 2 ans. Interdiction de Coupe d'Italie pour un an.
Même chose pour le Milan, la Fio, et la Lazio. Au final, pas de titres attribués pour 2004, 2005, 2006 en Série A. Pour la Coupe d'Italie et la Supercoupe d'Italie idem pour l'année 2004.
Ensuite, interdiction à l'Inter Milan de récupérer sur tapis vert les titres. On a fait ça en France pour OM-VA et c'est très bien.
Un palmarès sans vainqueurs permet de ne pas oublié qu'il y a eu de la magouille.
De plus, n'oublions pas dans cette affaire que les clubs sont aussi des victimes. En effet, Moggi à salopé la réputation de la Juve. Dans cette affaire il faut donc lourdement sanctionner les hommes du réseau Moggi. Car ce n'est pas la Juve en tant que club qui a magouillé mais ceux qui prétendaient la servir.
Si on regarde chez nous, on se rend compte que Tapie à magouillé à l'OM. Et bien sachez qu'il l'aurait fait partout ailleurs s'il avait été président d'un autre club.
En conclusion : avant de sanctionner les clubs, sanctionnons les hommes. Et puis n'oublions pas le silence de l'UEFA, elle qui avait été si prompte à se défouler sur l'OM en 93 !!!
Enfin une dernière chose : on se moque souvent de l'incapacité française à faire durer ses clubs au haut niveau : Reims, Saint-Etienne, Nantes. On regrette même qu'il n' y ait aucun club français à n'etre jamais descendu. Pourtant il faut se réjouir. En Italie la Juve et le Milan n'avaient jamais connu la Série B. Et puis il y a eu le Totonero et le Moggigate.
En Espagne, le Barça et le Real ne sont jamais descendu. La plus mauvaise place du Barça de tous les temps c'est 12ème ! Et il n'y a jamais eu d'affaire aussi !
C'est étrange non ?
Je ne partage pas l'avis de l'article précédent.
En effet je trouve ça totalement bidon de commencer un championnat avec des points de pénalité. Imaginez une finale de 100 mètres avec un sprinter devant parcourir 150 mètres parcequ'il aurait fauté auparavant (dopage, faut départ, etc...). C'est bidon. Imaginez encore que Schumi parte avec 10 tours de retard parcequ'il s'est planté en travers de la piste à Monaco. Là aussi c'est bidon.
Pour ma part et cela n'engage que moi, j'estime que les 4 clubs (Juve, Milan, Fio, Lazio) auraient du être relégués en Série B sans pénalité de points, mais en étant interdit de remonté immédiate comme ce le fut pour l'OM en France suite à l'affaire OM-VA.
De +, n'oublions pas que les titres gagnés par la Juve lui ont été retiré. Cette décision est légitime et logique.
Je livre donc mon verdict si j'avais été le juge de cette affaire.
Juve : retrait de tous les titres gagnés depuis 2004. Welcome en Série B avec interdiction de remonté pendant 1 ou 2 ans. Interdiction de Coupe d'Italie pour un an.
Même chose pour le Milan, la Fio, et la Lazio. Au final, pas de titres attribués pour 2004, 2005, 2006 en Série A. Pour la Coupe d'Italie et la Supercoupe d'Italie idem pour l'année 2004.
Ensuite, interdiction à l'Inter Milan de récupérer sur tapis vert les titres. On a fait ça en France pour OM-VA et c'est très bien.
Un palmarès sans vainqueurs permet de ne pas oublié qu'il y a eu de la magouille.
De plus, n'oublions pas dans cette affaire que les clubs sont aussi des victimes. En effet, Moggi à salopé la réputation de la Juve. Dans cette affaire il faut donc lourdement sanctionner les hommes du réseau Moggi. Car ce n'est pas la Juve en tant que club qui a magouillé mais ceux qui prétendaient la servir.
Si on regarde chez nous, on se rend compte que Tapie à magouillé à l'OM. Et bien sachez qu'il l'aurait fait partout ailleurs s'il avait été président d'un autre club.
En conclusion : avant de sanctionner les clubs, sanctionnons les hommes. Et puis n'oublions pas le silence de l'UEFA, elle qui avait été si prompte à se défouler sur l'OM en 93 !!!
Enfin une dernière chose : on se moque souvent de l'incapacité française à faire durer ses clubs au haut niveau : Reims, Saint-Etienne, Nantes. On regrette même qu'il n' y ait aucun club français à n'etre jamais descendu. Pourtant il faut se réjouir. En Italie la Juve et le Milan n'avaient jamais connu la Série B. Et puis il y a eu le Totonero et le Moggigate.
En Espagne, le Barça et le Real ne sont jamais descendu. La plus mauvaise place du Barça de tous les temps c'est 12ème ! Et il n'y a jamais eu d'affaire aussi !
C'est étrange non ?
La Cour arbitrale du Comité Olympique National Italien a réduit la pénalité de la Juventus, suite à l'affaire des matches arrangés. Les Turinois voient donc leur sanction passer de 17 à 9pts.
Morale de l'histoire : un club prestigieux, même s'il a triché, doit rester coûte que coûte au plus haut niveau. En aurait-il été de même pour un club comme Palerme ou Trévise par exemple ? Pas si sûr...
Morale de l'histoire : un club prestigieux, même s'il a triché, doit rester coûte que coûte au plus haut niveau. En aurait-il été de même pour un club comme Palerme ou Trévise par exemple ? Pas si sûr...
Enorme crise de l'arbitrage en ce moment.
Présidents, entraîneurs, joueurs, supporters, stadiers et ramasseurs de balles critiquent nos men in black qui aujourd'hui sont plutôt jaune fluo !!!
Primo, peut-on critiquer un arbitre ? OUI, OUI, OUI.
Un arbitre a le droit d'être critiqué car il fait partie du jeu. Lorsqu'un joueur fait un mauvais match, un entraîneur un mauvais coaching, ils sont critiqués. Les arbitres sont logés à la même enseigne. De +, les arbitres de foot ont un statut particulier car ils sont connus. En effet, leurs noms apparaîssent dans les journaux, les anciens arbitres deviennent consultants, et ils ont même des stars comme Collina, qui faisait de la pub !!! Existe-il un autre sport ou les arbitres soit autant médiatisé ? NON.
Alors comment résoudre cette crise ?
La vidéo ? NON, NON, NON.
La vidéo c'est de la merde. Même après 25 ralentis on ne saura toujours pas si ya faute ou pas faute, hors jeu ou pas hors jeu. De +, quand je vois comment sont filmés les matchs du Calcio, (caméra de travers obligeant le spectateurs à avoir un strabisme pour bien juger l'action) on ne peut pas dire que la vidéo soit la solution idoine. D'autant + que le football est un sport universel pratiqué sur toute la planète. Dès lors, il faudrait installer la vidéo au Népal, aux Samoa, ainsi qu'à Saint Vincent et les Grenadines car tous ces pays jouent au foot.
Sans oublié le fameux Norvège-Brésil de 98, ou la terre entière pensait que l'arbitre s'était trompé lorsqu'il accorda un penalty à la Norvège et que les caméras indiquaient qu'il n'y avait visiblement rien du tout.
Quelques jours plus tard, une vidéo provenant d'un supporter qui assistait au match dans les tribunes montrait qu'il y avait bien faute et que l'arbitre avait raison.
Plus d'arbitres sur le terrain ? OUI, OUI, OUI.
Primo, mettre des arbitres derrières les buts. Ils permettrons d'éviter des Hilton.
Ensuite, pourquoi ne pas mettre quatre juges de touches. On divise ainsi le terrain en quatre et les arbitres assistants n'auraient pas à statuer sur des situations de jeu se déroulant de l'autre côté du terrain.
Enfin, pourquoi des anciens footballeurs pro, ne seraient pas arbitres ?
En effet lorsqu'on parle de reconversion pour un footballeur, c'est toujours pour faire entraîneur, ou consultant. En devenant arbitre, ils pourraient calmer les joueurs en disant : je connais toutes les combines pour simuler. On ne me la fait pas ! De plus, ce passé de joueur serait un plus au niveau de la crédibilité. Un joueur n'osera jamais insulter un arbitre qui aurait été son idole dans sa jeunesse, ou qui aurait un palmarès de ouf.
Alors pourquoi pas des Laurent Blanc et des Bixente Lizarazu comme arbitre ?
Présidents, entraîneurs, joueurs, supporters, stadiers et ramasseurs de balles critiquent nos men in black qui aujourd'hui sont plutôt jaune fluo !!!
Primo, peut-on critiquer un arbitre ? OUI, OUI, OUI.
Un arbitre a le droit d'être critiqué car il fait partie du jeu. Lorsqu'un joueur fait un mauvais match, un entraîneur un mauvais coaching, ils sont critiqués. Les arbitres sont logés à la même enseigne. De +, les arbitres de foot ont un statut particulier car ils sont connus. En effet, leurs noms apparaîssent dans les journaux, les anciens arbitres deviennent consultants, et ils ont même des stars comme Collina, qui faisait de la pub !!! Existe-il un autre sport ou les arbitres soit autant médiatisé ? NON.
Alors comment résoudre cette crise ?
La vidéo ? NON, NON, NON.
La vidéo c'est de la merde. Même après 25 ralentis on ne saura toujours pas si ya faute ou pas faute, hors jeu ou pas hors jeu. De +, quand je vois comment sont filmés les matchs du Calcio, (caméra de travers obligeant le spectateurs à avoir un strabisme pour bien juger l'action) on ne peut pas dire que la vidéo soit la solution idoine. D'autant + que le football est un sport universel pratiqué sur toute la planète. Dès lors, il faudrait installer la vidéo au Népal, aux Samoa, ainsi qu'à Saint Vincent et les Grenadines car tous ces pays jouent au foot.
Sans oublié le fameux Norvège-Brésil de 98, ou la terre entière pensait que l'arbitre s'était trompé lorsqu'il accorda un penalty à la Norvège et que les caméras indiquaient qu'il n'y avait visiblement rien du tout.
Quelques jours plus tard, une vidéo provenant d'un supporter qui assistait au match dans les tribunes montrait qu'il y avait bien faute et que l'arbitre avait raison.
Plus d'arbitres sur le terrain ? OUI, OUI, OUI.
Primo, mettre des arbitres derrières les buts. Ils permettrons d'éviter des Hilton.
Ensuite, pourquoi ne pas mettre quatre juges de touches. On divise ainsi le terrain en quatre et les arbitres assistants n'auraient pas à statuer sur des situations de jeu se déroulant de l'autre côté du terrain.
Enfin, pourquoi des anciens footballeurs pro, ne seraient pas arbitres ?
En effet lorsqu'on parle de reconversion pour un footballeur, c'est toujours pour faire entraîneur, ou consultant. En devenant arbitre, ils pourraient calmer les joueurs en disant : je connais toutes les combines pour simuler. On ne me la fait pas ! De plus, ce passé de joueur serait un plus au niveau de la crédibilité. Un joueur n'osera jamais insulter un arbitre qui aurait été son idole dans sa jeunesse, ou qui aurait un palmarès de ouf.
Alors pourquoi pas des Laurent Blanc et des Bixente Lizarazu comme arbitre ?
Belle solidarité entre nos trois équipes ! Elles ont en effet choisit de se faire éliminer au même stade de la compétition permettant d'éviter de beau chambrage.
Entre le fiasco monegasque, le match nul à chier de l'AJA et le suicide collectif parisien en 3 minutes nous avons été servis !
RDV l'an prochain pour de nouvelle aventure dans cette merveilleuse compétition que l'univers entier nous envie !!!
Allez, un p'tit effort et on aura un merveilleux Sochaux-Rennes en finale !
Entre le fiasco monegasque, le match nul à chier de l'AJA et le suicide collectif parisien en 3 minutes nous avons été servis !
RDV l'an prochain pour de nouvelle aventure dans cette merveilleuse compétition que l'univers entier nous envie !!!
Allez, un p'tit effort et on aura un merveilleux Sochaux-Rennes en finale !
Les marseillais viennent d'écrire un beau poème en 1/8ème de finale de la coupe de la ligue. Un poème avec des vers en quatrain.
Décidemment, l'OM aime les quatrains. Après celui écris vs Lyon, ils ont récidivé vs l'ASSE.
Décidemment, l'OM aime les quatrains. Après celui écris vs Lyon, ils ont récidivé vs l'ASSE.
Nos trois clubs ont tous été battus lors de ces huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue :'(
Pour les Monégasques, éliminés par Reims (L2), c'set un nouveau coup dur. Comme au tour précédent (face à Valenciennes), le score était de 0-0 après les prolongations, mais cette fois-ci la série de tirs au but a été fatale à l'ASM (4-3). Givet et Di Vaio (qui avaient réussi dans cet exercice en 1/16è) ont échoué côté monégasque, le seul Rémois ayant manqué sa tentative étant... Bonnal, un ancien Rouge & Blanc. C'est donc Reims qui ira défier Rennes, qui a réalisé un petit exploit en allant battre Lille sur son terrain (2-0 ap), en quart de finale.
L'exploit, les Parisiens ont bien cru le réaliser ce soir au stade Gerland, puisqu'ils menaient 1-0 depuis l'heure de jeu et un penalty de Paulo César consécutif à une faute de Vercoutre sur Rodriguez. Mais un doublé de Wiltord en toute fin de match a écoeuré les Parisiens, lesquels méritaient mieux au vu de leur prestation. Avec sa réussite habituelle et une équipe remaniée, Lyon obtient ainsi son billet pour les quarts, où il recevra Nancy.
Enfin, Auxerre a également chuté, à domicile, contre Bordeaux. La défense bourguignonne a cédé en première mi-temps sur un but de Darcheville. A noter que Laslandes, ancienne gloire locale, a manqué un penalty dans les dernières minutes. Les coupes ne réussissent donc pas pour le moment à l'AJA, récemment battue en Coupe de l'UEFA. Bordeaux, quant à lui, ira à St Etienne pour l'une des grosses affiches de ce prochain tour.
Sochaux (5-0 face à Dijon, L2), Nancy, tenant du titre (2-1 face à Toulouse), Le Mans (3-1 face à Lens) et St Etienne (4-1 face à l'OM) se sont également qualifiés, tous à domicile.
Le programme des quarts :
Lyon-Nancy
Le Mans-Sochaux
Rennes-Reims
St Etienne-Bordeaux
Pour les Monégasques, éliminés par Reims (L2), c'set un nouveau coup dur. Comme au tour précédent (face à Valenciennes), le score était de 0-0 après les prolongations, mais cette fois-ci la série de tirs au but a été fatale à l'ASM (4-3). Givet et Di Vaio (qui avaient réussi dans cet exercice en 1/16è) ont échoué côté monégasque, le seul Rémois ayant manqué sa tentative étant... Bonnal, un ancien Rouge & Blanc. C'est donc Reims qui ira défier Rennes, qui a réalisé un petit exploit en allant battre Lille sur son terrain (2-0 ap), en quart de finale.
L'exploit, les Parisiens ont bien cru le réaliser ce soir au stade Gerland, puisqu'ils menaient 1-0 depuis l'heure de jeu et un penalty de Paulo César consécutif à une faute de Vercoutre sur Rodriguez. Mais un doublé de Wiltord en toute fin de match a écoeuré les Parisiens, lesquels méritaient mieux au vu de leur prestation. Avec sa réussite habituelle et une équipe remaniée, Lyon obtient ainsi son billet pour les quarts, où il recevra Nancy.
Enfin, Auxerre a également chuté, à domicile, contre Bordeaux. La défense bourguignonne a cédé en première mi-temps sur un but de Darcheville. A noter que Laslandes, ancienne gloire locale, a manqué un penalty dans les dernières minutes. Les coupes ne réussissent donc pas pour le moment à l'AJA, récemment battue en Coupe de l'UEFA. Bordeaux, quant à lui, ira à St Etienne pour l'une des grosses affiches de ce prochain tour.
Sochaux (5-0 face à Dijon, L2), Nancy, tenant du titre (2-1 face à Toulouse), Le Mans (3-1 face à Lens) et St Etienne (4-1 face à l'OM) se sont également qualifiés, tous à domicile.
Le programme des quarts :
Lyon-Nancy
Le Mans-Sochaux
Rennes-Reims
St Etienne-Bordeaux
Le jeune retraité de la F1, Michael Schumacher ne risque pas de s'ennuyer. En effet il devrait s'entretenir avec le Football Club d'Echichens.
Petit historique de ce sympathique club suisse situé à 10 minutes de la propriété de Schumi.
Le club d'Echichens fut fondé en juillet 1966. Auparavant il n'y avait pas de club de football dans ce paisible village suisse. Les couleurs adoptées furent celles de l'équipe d'Argentine. L'emblème du club est consititués de 3 jars blanc sur fond bleu.
Le club compte 250 membres dont le + célèbre est Schumi.
Petit historique de ce sympathique club suisse situé à 10 minutes de la propriété de Schumi.
Le club d'Echichens fut fondé en juillet 1966. Auparavant il n'y avait pas de club de football dans ce paisible village suisse. Les couleurs adoptées furent celles de l'équipe d'Argentine. L'emblème du club est consititués de 3 jars blanc sur fond bleu.
Le club compte 250 membres dont le + célèbre est Schumi.
La nouvelle est tombée ce matin et quand nous l'avons appris ce ne fut qu'une bonne nouvelle pour l'Asm. Le tyran s'est fait virer.
Banide remplace Bölöni
Le président de Monaco, Michel Pastor, a annoncé lundi matin que Laurent Banide remplacerait l'entraîneur Laszlo Bölöni «jusqu'à nouvel ordre». Cette décision du club intervient alors que la position de l'entraîneur roumain était très fragilisée après la septième défaite de l'ASM en dix matches, samedi, face à Toulouse (1-3). Le nouvel entraîneur a appris sa nomination tard dimanche soir : «Je suis un homme du club souligne Laurent Banide. Je prends mes responsabilités». Son premier objectif sera de qualifier l'ASM mardi en Coupe de la Ligue.
«Laszlo Bölöni est dispensé temporairement de ses fonctions d'entraîneur, Monsieur Laurent Banide le remplacera jusqu'à nouvel ordre», a expliqué le président monégasque au cours d'une conférence de presse au centre d'entraînement de La Turbie. Pastor a également précisé qu'il devait revoir Laszlo Bölöni «dans la semaine» afin de négocier son départ. Laurent Banide a assuré la séance d'entraînement lundi matin et s'est envolé avec son groupe dans l'après-midi pour Reims afin d'y disputer mardi soir un 8e de finale de la Coupe de la Ligue.
Laurent Banide, 38 ans, né à Alès, titulaire du DEPF (Diplôme d'Entraîneur Professionnel de Football), était l'adjoint de Francesco Guidolin la saison dernière et celui de Laszlo Bölöni cette saison. Auparavant, il était en charge de l'équipe des 16 ans de l'AS Monaco. Il devrient le plus jeune entraîneur de Ligue 1, devant Pablo Correa, l'entraîneur de Nancy, âgé de 39 ans. Interrogé sur ses intentions, Banide assure qu'il souhaite retrouver «les racines» du club : «J'ai des idées. Monaco a toujours été orienté vers un beau jeu, un jeu offensif. Il y a toujours eu beaucoup d'allant et de générosité. On va tâcher de retrouver nos racines. Laszlo Bölöni avait une vision personnelle un peu moins offensive que la mienne.»
Petite Interview de Yaya Touré milieu de terrain a Monaco concernant le mal être de l'effectif monégasque
Départ de Bölöni : Touré «satisfait»
L'international ivoirien Yaya Touré, arrivé cet été à Monaco en provenance du club grec de l'Olympiakos, entretenait des «relations difficiles» avec l'entraîneur Laszlo Bölöni et s'est dit satisfait, lundi, de sa mise à l'écart.
Quel est votre sentiment sur le départ de Laszlo Bölöni?
Comme je l'avais dit après Toulouse, on va continuer de travailler. C'est une page qui se tourne. Le métier d'entraîneur est difficile. Mais bon... Bölöni était un entraîneur avec lequel j'avais des relations difficiles. Je n'ai jamais senti qu'il avait certains devoirs envers moi. Un entraîneur est un homme qui doit indiquer le droit chemin. Il faisait preuve de discrimination entre les joueurs. Pour moi, c'était inacceptable. Avec Lolo (Banide), ça va aller mieux.
Quelle était votre relation avec lui ?
Cela le faisait rire quand je demandais de jouer à mon vrai poste. Mais il parlait dans mon dos. Il est même allé voir des joueurs pour leur dire qu'il ne savait pas où me mettre et que je n'entrais pas dans son schéma. Il avait sans doute une pression des dirigeants pour me faire jouer, car mon transfert avait été très difficile à négocier. Je suis venu à Monaco alors que beaucoup d'entraîneurs de bons clubs m'avaient appelé. Mais les dirigeants monégasques m'avaient convaincu. J'ai un statut, je suis international et je fais mon travail normalement.
Des choses vont-elles changer dès mardi à Reims en Coupe de la Ligue ?
Pour moi, le départ de Bölöni est une grande satisfaction. Il est logique et une bonne chose. J'en avais plus que marre. Ce qui se passait était inadmissible. Je ne comprenais pas ses reproches. Je pense maintenant que je vais retrouver mon vrai poste. On va désormais à Reims et Nantes pour réagir. Notre situation est délicate. Mais on va se battre, car Monaco ne peut pas rester relégable».
(source : l'équipe)
Banide remplace Bölöni
Le président de Monaco, Michel Pastor, a annoncé lundi matin que Laurent Banide remplacerait l'entraîneur Laszlo Bölöni «jusqu'à nouvel ordre». Cette décision du club intervient alors que la position de l'entraîneur roumain était très fragilisée après la septième défaite de l'ASM en dix matches, samedi, face à Toulouse (1-3). Le nouvel entraîneur a appris sa nomination tard dimanche soir : «Je suis un homme du club souligne Laurent Banide. Je prends mes responsabilités». Son premier objectif sera de qualifier l'ASM mardi en Coupe de la Ligue.
«Laszlo Bölöni est dispensé temporairement de ses fonctions d'entraîneur, Monsieur Laurent Banide le remplacera jusqu'à nouvel ordre», a expliqué le président monégasque au cours d'une conférence de presse au centre d'entraînement de La Turbie. Pastor a également précisé qu'il devait revoir Laszlo Bölöni «dans la semaine» afin de négocier son départ. Laurent Banide a assuré la séance d'entraînement lundi matin et s'est envolé avec son groupe dans l'après-midi pour Reims afin d'y disputer mardi soir un 8e de finale de la Coupe de la Ligue.
Laurent Banide, 38 ans, né à Alès, titulaire du DEPF (Diplôme d'Entraîneur Professionnel de Football), était l'adjoint de Francesco Guidolin la saison dernière et celui de Laszlo Bölöni cette saison. Auparavant, il était en charge de l'équipe des 16 ans de l'AS Monaco. Il devrient le plus jeune entraîneur de Ligue 1, devant Pablo Correa, l'entraîneur de Nancy, âgé de 39 ans. Interrogé sur ses intentions, Banide assure qu'il souhaite retrouver «les racines» du club : «J'ai des idées. Monaco a toujours été orienté vers un beau jeu, un jeu offensif. Il y a toujours eu beaucoup d'allant et de générosité. On va tâcher de retrouver nos racines. Laszlo Bölöni avait une vision personnelle un peu moins offensive que la mienne.»
Petite Interview de Yaya Touré milieu de terrain a Monaco concernant le mal être de l'effectif monégasque
Départ de Bölöni : Touré «satisfait»
L'international ivoirien Yaya Touré, arrivé cet été à Monaco en provenance du club grec de l'Olympiakos, entretenait des «relations difficiles» avec l'entraîneur Laszlo Bölöni et s'est dit satisfait, lundi, de sa mise à l'écart.
Quel est votre sentiment sur le départ de Laszlo Bölöni?
Comme je l'avais dit après Toulouse, on va continuer de travailler. C'est une page qui se tourne. Le métier d'entraîneur est difficile. Mais bon... Bölöni était un entraîneur avec lequel j'avais des relations difficiles. Je n'ai jamais senti qu'il avait certains devoirs envers moi. Un entraîneur est un homme qui doit indiquer le droit chemin. Il faisait preuve de discrimination entre les joueurs. Pour moi, c'était inacceptable. Avec Lolo (Banide), ça va aller mieux.
Quelle était votre relation avec lui ?
Cela le faisait rire quand je demandais de jouer à mon vrai poste. Mais il parlait dans mon dos. Il est même allé voir des joueurs pour leur dire qu'il ne savait pas où me mettre et que je n'entrais pas dans son schéma. Il avait sans doute une pression des dirigeants pour me faire jouer, car mon transfert avait été très difficile à négocier. Je suis venu à Monaco alors que beaucoup d'entraîneurs de bons clubs m'avaient appelé. Mais les dirigeants monégasques m'avaient convaincu. J'ai un statut, je suis international et je fais mon travail normalement.
Des choses vont-elles changer dès mardi à Reims en Coupe de la Ligue ?
Pour moi, le départ de Bölöni est une grande satisfaction. Il est logique et une bonne chose. J'en avais plus que marre. Ce qui se passait était inadmissible. Je ne comprenais pas ses reproches. Je pense maintenant que je vais retrouver mon vrai poste. On va désormais à Reims et Nantes pour réagir. Notre situation est délicate. Mais on va se battre, car Monaco ne peut pas rester relégable».
(source : l'équipe)
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